Ce serait me répéter que de dire que j’aime fort ces maison d’ouvrier, on l’a bien compris ! Voici les dernières, trois dont ma préféré celle de Capannaccia. J’espérais la recroiser. Elle n’avait pas bougé, elle m’attendait tout comme l’année passée, la Bignone aussi, dégueulant de fleurs.